dimanche 31 juillet 2011

Avez-vous votre Road ID ?

Tout comme une foule de sportifs et athlètes, je m'entraine dans la région de Québec depuis des années (jogging, vélo, natation, ski de fond, etc.). Les sorties impliquent souvent qu'on parte 'solo', sans aucun papier sur nous !


Je suis toujours surpris lorsque  je croise d'autres sportifs qui me demandent "Eille, c'est quoi le bidule que tu as autour du pied ?" Ou encore "C'est quoi le truc que t'as dans le cou, tu es dans l'armée ?" Eh bien, non, il s'agit de mon "Road ID" ! Un système d'identification qui permet à quiconque de savoir qui je suis, savoir qui appeler en cas d'urgence, etc. Pas besoin d'être malade pour s'assurer que, peu importe la circonstance, une personne puisse connaitre rapidement ces informations sur moi...

Elliot au Zoo de Granby
 J'ai découvert le Road ID lors d'une participation à un triathlon Xterra aux États-Unis en 2004. À mon retour au Québec, j'en ai fait l'achat presqu'immédiatement. Depuis, mes amis, famille, etc. en ont presque tous un. Même les enfants ont le leur, pour des raisons de sécurité lorsqu'on les amène dans de grandes foules, en voyage dans les aéroports, etc.


Cette philosophie de toujours avoir une identification sur soi lorsqu'on sort s'entrainer est de plus en plus en vogue aux États-Unis (peut-être publicisé par le Tour de France sur Versus Channel), mais ne semble pas connaitre autant de succès au Québec. En effet, combien de vos amis ou membres de votre famille en possède un ? En avez-vous un vous même ?


Trois modèles montrés : Ankle ID, FIXX ID,
et Wrist ID Elite
Pour les intéressés, le Road ID se fait en plusieurs modèles :

  • Le FIXX ID, qui est un collier avec une plaque de type "dog tag";
  • Le Ankle ID, qui se porte autour de la cheville;
  • Le Wrist ID, qui se porte autour du poignet (3 variantes : le Wrist ID, le Wrist ID Elite, et le Wrist ID Slim);
  • Le Shoe Lace ID, qui se porte sur les lacets de souliers
  • Etc.
Raphaëlle à l'aéroport
Sur le Road ID, on peut y faire graver des informations sur plus de 5 lignes, dépendemment du modèle choisi. La compagnie offre même une foule de produits axés sur la sécurité des personnes pratiquant les activités sportives à l'extérieur. Personnellement, j'en possède plusieurs et je ne sors jamais faire une activité en solitaire sans en porter au moins un (vélo, jogging, natation en eau libre, etc.). Mon épouse en possède deux, et mes enfants ont chacun leur Fixx ID attaché à leur cou lors des sorties en foule !).

Alors..... "Avez-vous votre Road ID ?"

Pour ceux qui veulent en savoir plus, je vous invite à consulter le lien suivant : www.RoadID.com

lundi 20 juin 2011

Ironman Mont-Tremblant, Here we come !

Tout le monde le sait maintenant, et c'est officiel : Il y aura un Ironman fédéré par WTC (World Triathlon Corporation) au Québec, et ce sera à Mont-Tremblant le 19 août 2012 !

La nouvelle, qui est sortie dans les premiers jours de juin, en a fait plusieurs stupéfaits dans la communauté des triathlètes québécois : La journée des inscriptions en ligne est prévue pour le 15 juin 2011, soit quelques jours après l'annonce, et les coûts d'inscription s'élèvent à 675$ CAN plus les frais de gestion. En général, les évènements WTC se vendent en quelques jours, voir même quelques heures. Quant à Tremblant, on peut penser que la première année sera moins prisée. Par contre, la qualité du secteur, le plan de réaménagement des infrastructures routières, et la beauté du paysage fera sûrement de cet évènement un must pour les triathlètes aguerris.

Ironman Tremblant est une porte ouverte pour une qualification au Championnat du monde de triathlon Ironman qui se déroule à Kona, HI, à chaque année, en octobre. Avec une inscription le jour même de l'ouverture, la table est mise, et le focus sur l'entrainement et les courses sera fait en fonction d'une performance lors de ma participation à cet évènement qui sera sans contredit grandiose !

Pour plus d'informations, voir le site officiel : http://ironmanmonttremblant.com.

mercredi 5 janvier 2011

PoolMate : Gadget ou outil d'entrainement ?

Il est temps de parler "Métriques" ! Pour Noël 2010, j'ai décidé d'offrir à ma blonde un objet qui fut l'un de mes fantasmes de la dernière année : La montre PoolMate qui calcule "automatiquement" les longueurs nagées en piscine. J'ai donc profité donc de l'occasion pour en commander une pour.... moi...

J'ai fait mon premier test avec cette montre en bassin de 21m (largeur de piscine). Premier constat, il est très facile de passer du mode 25m au mode 21m. En fait, on peut configurer la montre pour n'importe quelle longueur de bassin, même si les standards seront 25 et 50m. La montre peut aussi être configurée pour les systèmes "métrique" ou "impérial" (meters ou yards).

Ce petit bijou, dans lequel les ingénieurs ont dissimulé un petit accéléromètre permet d'enregistrer les métriques suivantes  :

- Nombre de longueurs
- Nombre de mouvements par longueur ("strokes per length")
- Vitessse (min/100m)
- Efficacité (basé sur le nombre de cycles, la distance parcourue par cycle, et la vitesse)
- Distance totale parcourue, ou distance pour chaque série
- Calories dépensées

Après un premier essai, j'ai été surpris de constater la précision de mon nouvel outil ! Mon indice d'efficacité se situe aux alentours de 37 (coté "Very Good" selon le fabriquant, moins de 30 donnant une cote de "Professionnal Athlete"), ce qui n'est pas si mal, compte tenu que je suis encore aux tous débuts de mon programme d'entrainement pour la saison 2011...

Toutes les variables sont enregistrées dans un carnet daté, que l'on accède par les menus de la montre. On peut enregistrer jusqu'à 99 séries (sets) par entrainement, et plusieurs entrainements, avoir de devoir supprimer des données. En passant, la navigation à travers les différents menus se fait aisément !

Alors Gadget ou outil d'entrainement ? Quoiqu'on en pense, pour moi c'est un outil d'entrainement, tout comme la montre GPS, le cardio-fréquencemètre, etc. Tous ces bidules ne sont pas requis pour faire la pratique du sport et de l'activité physique, mais quand on y passe autant de temps, ou qu'on s'adonne à un programme sérieux dans le but de performer en compétition, ils deviennent des outils de mesure qui permettent surement d'améliorer les performances, du moins d'en savoir plus sur notre efficacité...

La montre PoolMate peut être commandée en ligne via le site de la compagnie (Swimovate)** :

http://www.swimovate.com/poolmate.html

Espérons qu'un distributeur canadien offrira un jour le produit. Pour le moment, on n'a pas le choix de commander aux USA ou bien de l'Europe.

**Si vous commandez directement du fabriquant, demandez un autre transporteur que UPS, afin d'éviter les mauvaises surprises de frais de dédouanage ($#%@%#$%) ;-)

mardi 24 août 2010

Ford Ironman Lake Placid 2010

Ali'i Drive, Kona, Hawaii. Cinq heures du matin. Je sens le souffle chaud sur mon visage alors que je prends par à un entrainement de jogging de 5km. Il y a d'autres athlètes qui sont debout et profitent de ce beau lever de soleil, il faut dire que le décalage horaire de tous ceux venant de l'est y est pour quelque chose. À cette époque, j'en étais à mes débuts en triathlon et nous accompagions notre ami Pierre Lavoie, pour sa participation au prestigieux Championnat du monde Ironman 2004. C'est à ce moment que le "Ironman fever" m'a envahi... 2500 athlètes prenant part à la même course, chacun étant accompagné par quelques amis, membres de leur famille, etc. L'ambiance à Kona cette semaine là, à chaque année, est à son paroxisme ! Nous étions en 2004 et je me suis promi un jour que je participerais à un événement de cet ampleur...


Saguenay Lac-St-Jean. 2008. Mon frère et moi nous déplaçons en voiture pour nous rendre à une course de vélo à Roberval au Lac St-Jean, et avons comme idée de nous rendre, l'été suivant, à Lake Placid afin de nous inscrire pour l'Ironman de 2010. L'Ironman de Lake Placid est l'un des événements sportifs (qui regroupe professionnels et amateurs) les plus prestigieux en amérique du Nord et il faut savoir que l'inscription en ligne y est presqu'impossible et qu'il vaut mieux s'y rendre en personne pour s'y inscrire. Les inscriptions ouvrent le lendemain de la course, à 9h, et l'événement est complet aux alentours de midi, avec environ 3000 inscris. Une journée de bénévolat, un lever du corps à 4h du matin pour aller faire la file, et 540$ US plus tard, nous étions finalement inscrits pour l'édition 2010 de l'Ironman de Lake Placid ! La confirmation de l'inscription amème déjà un sentiment de fierté et de fébrilation et signifie l'engagement et le début d'une belle et longue année de préparation et d'entrainement pendant laquelle nous devrons composer avec des horaires de travail chargés, une vie de famille équilibrée, etc. La contribution des membres de la famille fait partie de la réussite de ce projet et est primordiale !


C'est donc 365 plus tard et 32 semaines d'entrainement programmé, que nous quittions notre chambre d'hôtel, en compagnie nos blondes (les meilleures supportrices au monde) et de Jenny, pour nous diriger vers le site du triathlon pour le body marking et notre préparation finale pour le départ, qui est prévu pour 7h. On annonçait des orages ce matin là, ce qui aurait pu compromettre l'heure du départ. Heureusement, les prévisions ne se sont pas avéré... La journée sera ponctuée d'une nage de 3,8km dans Mirror Lake, au coeur de Lake Placid. Une boucle de 1,9km que nous devons parcourir par deux fois. La zone de transition se situe à environ 1km du lac et nous amènera à notre vélo, qu'on montera pour affronter un parcours relativement relevé, ponctué de descentes, ascensions, plats et faux-plats, sur une distance de 180km. Nous enchainerons ces deux épreuves à un marathon, soit 42,2km de course à pieds.


Au coup de fusil, en ce matin du 25 juillet 2010, ce sont environ 2600 athlètes qui se lancent à l'eau en même temps. Il faut naviguer à travers bras et jambes, et on se croirait un peu comme dans une machine à laver qui n'est pas au cycle délicat... Pendant les premières minutes, mieux vaut suivre la parade sans essayer de trouver son chemin... Après quelques minutes, dans mon cas, je profite d'une éclaircie pour entreprendre ma nage à un rythme auquel je suis habitué. Tout au long de l'épreuve de natation, il faut trouver son chemin à travers les 'packs' de nageurs et nageuses, à moins d'avoir eu la chance de trouver un groupe qui nage à la même vitesse et de s'y joindre. En ce qui me concerne, je suis parti sur une ligne trop conservatrice dans l'aire de départ, et j'ai du manoeuvrer afin de dépasser plusieurs nageurs. /*note à moi-même : la prochaine fois, partir plus près de la ligne de départ!*/. À la sortie de l'eau, on se fait 'peler' notre wetsuit par des bénévoles pour ensuite se rendre à la zone de transition ou nous attendent nos sacs de transition et notre vélo. Dans la tente de transition, on enfile casque, souliers de vélo, sortons chercher notre monture et nous voilà lancés pour une jolie randonnée de 180km de vélo sur un magnifique parcours ponctué de côtes et de quelques plats et faux-plats... Pour ma part, après 1h07min passé dans le lac et près de 7min pour la transition natation-vélo, j'arrive à parcourir les 180km à un peu plus de 30km/h de moyenne, ce qui me satisfait amplement... J'aime savoir qu'après le vélo, je suis encore relativement frais pour entamer un marathon de course à pieds... Au premier tour de ce marathon qui est lui aussi assez relevé, tout se passe très bien et je suis surpris de me rendre compte que je parcours le demi-marathon en 2hres, ce qui me laisse croire un temps intéressant si j'arrive à maintenir cette cadence... J'en profite au passage pour embrasser ma blonde Geneviève, saluer Audrey, Caroline et David et repars pour la deuxième boucle de 21,1km. Lors de ce 2e tours par contre, je commence à ressentir des douleurs au genou gauche et des raideurs aux jambes. Je m'attendais à ceci car, du à plusieurs blessures enchainées au printemps dernier, mes entrainements de jogging, depuis le mois de mars, ce sont limitées à des sorties de 10km... Je croise mon frère Patrick qui semble très bien aller... J'en profite aussi pour saluer au passage quelques amis. Je parcours donc cette 2e boucle en 2h40... Marcher n'a jamais été aussi soulageant que lors de cette 2e boucle... En entrant en ville, on entends la voix légendaire de Mike Reilly lancer des "YOU ARE AN IRONMAN!" aux participants qui croisent la ligne d'arrivée. C'est à ce moment que je réalise vraiment que c'est bientôt mon tour. À quelques kilomètres de l'arrivée, un petit regain d'énergie m'envahis et je cours en continu jusqu'au fil d'arrivée, où m'attendent Geneviève accompagnée de Caroline et quelques autres amis !


J'entre en 11h52m10s, ce qui me satisfait amplement comme temps ! Tout ceci me laisse espérer qu'avec un marathon décent, je pourrai un jour compléter l'Ironman en moins de 11h... Il n'en n'est que spéculation pour le moment et cela restera à prouver lors d'une prochaine participation à ce prestigieux événement qu'est l'Ironman ;-)


Quelques liens :



jeudi 15 octobre 2009

Trigger Point Therapy : Études de cas !



Note : Ce billet s'adresse aux personnes intéressées par l'auto-massage ou le travail mécanique comme fin de guérison et de prévention des blessures.

En juillet dernier, alors que j'assistais à l'Ironman de Lake Placid, j'ai rencontré un représentant de la compagnie TPTherapy.com qui m'a proposé de faire l'essai de quelques uns de leurs produits. J'avais déjà vu des publicités à cet effet dans des revues de triathlon et était intrigué par les produits, mais jamais je n'avais eu la chance de les voir, des les toucher, ou encore mieux, de les essayer...


J'ai été impressionné par l'efficacité de ces "outils", notamment le QuadBaller et le FootBaller. Le seul hic : Le prix ! À ce moment, je trouvais hors de prix l'achat de tels équipements.

Quelques semaines après, j'ai été victime d'un claquage musculaire dans chacun de mes deux ischiaux jambiers. Quelques traitements en massothérapie m'ont beaucoup aidés, notamment à guérir complètement la jambe droite. Mon masso m'a d'ailleurs conseillé faire l'acquisition du QuadBaller, afin de pouvoir travailler sur mes jambes à la maison, conseil que j'ai éxécuté quelques semaines plus tard...


Les résultats, pour le moment, sont probants : Pendant une semaine, j'ai travaillé sur ma jambe blessée avec le QuadBaller et par de l'étirement, sans toucher à la jambe guérie (ce que je ne devrais pas faire...). Un rendez-vous chez mon massothérapeute, après une semaine de tests, a dévoilé que les muscles de ma jambe gauche (blessée) étaient plus tendres que celle de droite (non blessée). De plus, ma jambe blessée a une bien meilleure élasticité que celle de droite, ce qui montre que les traitements mécaniques réalisés à la maison (combinaison du travail fait avec le QuadBaller et des étirements) a été très efficace.

Un entretient récent avec un physiothérapeute de la clinique PCN à Québec m'a aussi confirmé l'efficacité de ce genre de travail mécanique sur les muscles. Il ajoute que ce travail mécanique peut être réalisé avec bien des objets qu'on trouve à la maison (balle, ballon, "frite" de piscine, etc.). Pour ma part, je préfère ne pas me casser la tête et travailler avec "the right thing" tout de suite en partant...

Pour plus d'informations : http://www.tptherapy.com/
Pour commander au Canada : http://www.cdisports.com/


dimanche 19 juillet 2009

Triathlon Saguenay : Quelques leçons apprises... et une belle photo dans les sports !

Après ma sixième saison en triathlon, il était temps de participer à une épreuve qui se voulait une leçon, et ce sur plusieurs plans... Lisez et vous comprendrez !

Comme d'habitude (ou presque), mon frère et moi nous rendons au site de compétition vers les 7h du matin. Les filles et les enfants viendront nous rejoindre un peu plus tard pour les encouragements. En arrivant sur le site, il pleut à boire debout... Pas grave, les vrais champions ne se soucient pas de la pluie, ils ne se posent pas trop de questions, et font ce qu'ils ont é
té programmé à faire... Enfin, presque ! Dans mon cas, ce jour là, la programmation n'était pas à son meilleur !

Comme d'habitude, nous préparons notre zone de transition, nous rendons au meeting des athlètes, que nous sommes supposé écouter... Dans mon cas, comme je me pense bon, je ne vois pas l'intérêt de prêter l'oreille aux dires de l'officiel, ce qui me coûtera deux minutes un peu plus tard, non pas pour bâton élevé, mais pour casque détaché... Ensuite, nous partons nous échauffer... Au retour, on apprend que notre départ se fera dans..... 5 minutes !
Oups, le temps presse pour apposer notre "Body Glide" et enfiler notre combinaison thermique.... qui s'enfile très difficilement sur un corps mouillé par la pluie.. "3 minutes avant le départ pour le triathlon olympique !"... Ok, y faut y aller ! On tire sur nos wetsuits, descend à la rivière, saute à l'eau, et pas longtemps après, le coup d'envoie !

La portion natation se passe bien, à part un moment où mes pensées divaguent et ma trajectoire diverge... La kayak me siffle, je sors la tête de l'eau, pour me rendre compte que je suis en train de dévier... Pas de problèmes, je me rapplombe tranquillement... Je sors de l'eau après 29 minutes, ce que je trouve assez lent, étant donné que normalement, je nage un 1500m en environ 25 minutes... Pas grave, je me reprendrais sur les autres tranches du triathlon !

La transition nage-vélo se fait très bien, à p
art une chute lorsque je monte sur mon vélo... Je n'ai jamais pratiqué la montée sur vélo avec les souliers préclippés sur les pédales, sous la pluie... Mon pied gauche glisse, et je me ramasse couché sur le Tarmac ! Pas grave, les champions chutent aussi... Je remonte, replace ma chaine, réajuste l'alignement de ma roue, et me voilà lancé ! Pas grave, je peux encore rattraper le temps perdu, me dis-je...

Sur le vélo, tout va bien... À part le fait que je ne tiens pas le
s vitesses habituelles... J'avais cru, en début de saison, pouvoir fait les mêmes temps en vélo cette année malgré le repos d'entrainement forcé ce printemps : Erreur ! En effet, ce manque d'entrainement se fait sentir, surtout sur le vélo, qui est habituellement mon segment le plus fort. Ce sera différent l'an prochain ! Je termine la portion vélo en 1h07min environ, pour une vitesse moyenne de 35km/h, ce qui n'est pas trop mal, compte tenu des circonstances !

À la transition vélo-course, j'entends un officiel dire : "Numéro 77, casque détaché, deux minutes de pénalité" ! Pourtant, j'ai détaché mon casque seulement une fois entré dans la zone de transition : Erreur ! Il faut détacher le casque lorsque le vélo est sur le support à vélo. J'argumente quelque peu avec l'officiel dans l'espoir qu'il ait
pitié de moi et me redonne mes deux minutes... Rien à faire, évidemment ! En fait, c'est mon erreur... Ce règlement, je le connaissais très bien mais l'ai oublié avec le temps... Pas grave, cela ne se reproduira plus !

Le reste de la course se déroule très bien. Nous terminons,
Patrick, Vincent et moi, avec un grand sourire dans le visage, les filles et les enfants étant là pour nous accueillir ! On ramasse ensuite nos trucs et je repars avec beaucoup de leçons à retenir pour la saison prochaine...





Page des sports, Progès Dimanche de Chicoutimi :





jeudi 28 février 2008

Nouveau maillot !

Pour l'occasion de ma participation récente au championnat du monde de triathlon demi-Ironman, et, surtout, pour remercier les différents partenaires qui m'ont appuyé , j'ai fait confectionner un maillot sur mesure, dont voici la maquette de réalisation :


(cliquer pour agrandir)


Le concept visuel se veut simple et j'ai tenté d'utiliser des couleurs actuelles dans le monde du sport (Gris Carbone et Orange), et, inspirées de compagnies telles que Rossignol, Pearl Izumi, etc.